PATRICK
AUBERGER

Faiseur d'images,
conteur de lumière

Autoportrait Patrick Auberger

Je ne me définis pas. Ou peut-être seulement comme un faiseur d’images. Là où d’autres écrivent des histoires avec des mots, moi, je les raconte avec la lumière, la couleur et la matière numérique.

Autoportrait Patrick Auberger

Un parcours entre design et création

Après des études en Arts Appliqués, j’ai tracé mon chemin dans le design global, explorant les formes, les lignes et les espaces avant de me consacrer entièrement à l’image. En 2016, je m’inscris à la Maison des Artistes en tant qu’artiste plasticien photographe, affirmant ainsi mon besoin d’expression par l’image.

Autoportrait Patrick Auberger

Héritage et influences, un regard nourri d’histoire

Mon regard puise dans la Renaissance italienne, où la lumière sculpte les corps et révèle l’âme. Il s’imprègne aussi du Pop Art, avec ses contrastes puissants et son esthétique décalée, et de la peinture américaine des années 80, brute, vibrante, instinctive.

Mais plus que tout, je cherche à montrer le monde comme je le vois. Sans filtre, sans message, sans engagement. Juste un regard, un instant, une histoire.

Autoportrait Patrick Auberger

Créer sans contraindre, la liberté de l’image

Je travaille la photo numérique, façonnée ensuite par des logiciels de post-production.
Mon approche ne suit pas de dogme, elle est instinctive, exploratoire. Je ne cherche pas à imposer une idée ou un combat.

Selon moi, l’art n’est pas une définition, c’est une énergie, avec laquelle des femmes et des hommes, que nous appelons “les artistes”, expriment leurs peurs, leurs colères, leurs amours, leurs désirs avec les outils ou techniques qu’ils maîtrisent (musique, peinture, photo, sculpture,…).

Autoportrait Patrick Auberger

Regarder autrement

L’image est partout. Mais la voyons-nous vraiment ? À travers mon travail, je cherche simplement à offrir un regard, un instant suspendu, une autre manière d’appréhender le visible. Peut-être que, quelque part, c’est cela, être artiste.

Autoportrait Patrick Auberger